Éditorial

L’ÉVOLUTION DU BULLETIN OFFICIEL

Comme je l’écrivais voici presque deux ans (BO n^o 4 - avril 1996), un travail de réflexion a été entrepris, associant les émetteurs de textes, les lecteurs et l’équipe de rédaction, aux fins d’améliorer et de faire évoluer le Bulletin officiel. La première étape a consisté à dresser un état des lieux.
Une enquête de satisfaction, pilotée par la délégation aux études et audits, a ainsi été confiée il y a six mois à une société d’audit qui vient d’en communiquer les résultats dans un rapport présenté au cours de la réunion des délégués régionaux du 3 février dernier.
Les résultats de l’enquête confirment d’emblée le sentiment de satisfaction générale qui a dominé les débats : unanimement reconnu comme un outil réglementaire incontournable, le Bulletin participe en effet activement à la vie de l’organisme et de ses personnels grâce aux documents et informations qu’il publie.

Cet acquis devant être préservé, l’amélioration préconisée ne vise ainsi ni à le réduire ni à le corriger mais plutôt à l’enrichir afin de lui permettre de répondre davantage encore aux attentes légitimes des lecteurs.
L’effort doit viser essentiellement à faciliter sa lecture grâce notamment à une présentation plus explicite des rubriques, une plus grande fréquence de commentaires ou de textes introductifs, la visualisation des circuits ou procédures prévus par les textes ou encore une mise à jour plus rapide des numéros spéciaux.
Tout en respectant sa mission principale, le Bulletin devra accroître ses fonctionnalités de guide pour le lecteur, parfois placé en face d’un maquis de textes peu accessibles, afin de confirmer son rôle clé dans le système d’information administrative et institutionnelle du CNRS.
Enfin, il devra être de plus en plus associé aux outils de consultation et de recherche électroniques, et trouver toute sa place en complémentarité avec les informations réglementaires données sur la "Toile".

Jean-Pierre SOUZY
Secrétaire général du CNRS