Éditorial

A la faveur de la réforme du code des marchés publics, j’ai souhaité que le CNRS se dote d’une nouvelle nomenclature des produits et services plus adaptée à l’activité et au fonctionnent de notre établissement. Il s’agit d’un outil indispensable à l’élaboration de notre politique d’achat, à la modernisation et la simplification de nos pratiques dans le domaine.

D’environ 700 familles de fournitures et services homogènes répertoriées dans les anciennes nomenclatures, le nouveau référentiel unifié en propose un peu moins de 500, structurées autour de 6 grands « thèmes » :

– approvisionnements généraux

– logistique

– information, documentation et communication

– bâtiment et infrastructure

– fournitures, équipements, instrumentations et services scientifiques

– informatique

Chacun des thèmes est ensuite divisé en domaines, sous domaines, puis familles homogènes. L’appréciation des seuils permettant de déterminer les procédures d’achat (passation ou non d’un marché formalisé) s’effectuera à ce dernier niveau.

Ces thèmes ont été définis à partir des analyses de plusieurs groupes d’experts, dont je tiens à saluer le travail, en association avec des représentants d’autres EPST. Pour tous les aspects scientifiques, l’expertise des membres de deux commissions techniques représentant les différents départements scientifiques a été sollicitée.

Cette nouvelle nomenclature correspondra mieux à la réalité de la dépense des laboratoires.

Jacques BERNARD

Secrétaire général du CNRS